À l’heure où les cyberattaques se multiplient et deviennent de plus en plus sophistiquées, il est impératif de choisir un antivirus fiable et performant. Que vous soyez un particulier soucieux de la sécurité de vos données ou une entreprise souhaitant protéger l’ensemble de votre réseau informatique, le choix d’un bon logiciel de cybersécurité ne doit rien au hasard.
Parmi les solutions les plus populaires du marché figurent Avast etBitdefender. Ces deux mastodontes proposent une panoplie de fonctionnalités avancées, mais répondent à des besoins différents selon les profils d’utilisateurs.
Dans cet article, nous vous proposons un comparatif clair, actualisé et sans jargon inutile. Notre objectif ? Vous aider à faire un choix éclairé — et vous montrer pourquoi Avast se démarque comme la solution la plus avantageuse en 2025.
🛡️ Fonctionnalités principales : deux poids lourds, mais des différences clés
🔍 Bitdefender : des fonctionnalités avancées, mais parfois complexes
Bitdefender est reconnu pour son moteur d’analyse puissant et ses performances en matière de détection de logiciels malveillants. Il intègre :
Une protection en temps réel efficace
Un module anti-phishing performant
Des options avancées pour les utilisateurs expérimentés (contrôle parental, pare-feu, anti-tracker)
Cependant, cette richesse fonctionnelle s’accompagne d’une interface souvent perçue comme technique et peu intuitive. Certains outils sont également verrouillés selon les versions, ce qui peut entraîner des frais supplémentaires pour débloquer certaines fonctionnalités pourtant essentielles.
✅ Avast : une interface intuitive et une richesse fonctionnelle
Avast, de son côté, propose une expérience utilisateur fluide et simple, tout en intégrant des outils puissants pour garantir une sécurité optimale :
Interface ergonomique, accessible aux débutants comme aux professionnels
Sandbox pour exécuter les fichiers suspects sans danger
VPN, nettoyage de l’ordinateur, gestionnaire de mots de passe (dans les versions premium)
Protection web avancée contre les sites de phishing et les malwares
🔑 Conclusion : Avast allie simplicité et puissance, avec des fonctionnalités accessibles sans surcoût caché. Idéal pour un usage quotidien sans prise de tête.
⚙️ Performances et impact système : qui ralentit le moins votre ordinateur ?
🧱 Bitdefender : une protection solide, mais gourmande en ressources
Si Bitdefender brille en matière de sécurité, il est souvent pointé du doigt pour sa consommation importante de ressources système :
Les analyses peuvent ralentir les performances, notamment sur les PC plus anciens
L’impact sur la mémoire vive est non négligeable en arrière-plan
Pour les utilisateurs qui cherchent une solution légère, Bitdefender peut s’avérer un peu trop lourd, surtout sur des machines à configuration modeste.
🕊️ Avast : une légèreté qui fait la différence
Avast a su optimiser son moteur pour offrir une protection efficace tout en restant discret :
Le Smart Scan identifie les menaces sans monopoliser les ressources
Exécution fluide même sur les ordinateurs d’entrée de gamme
Mode « Ne pas déranger » pour préserver les performances pendant les jeux ou présentations
🟢 Avantage Avast : Une solution qui sait se faire oublier sans compromettre la sécurité.
💰 Tarifs et flexibilité : lequel propose le meilleur rapport qualité/prix ?
💸 Bitdefender : des prix compétitifs… mais des options limitées
Bitdefender propose plusieurs plans pour particuliers et entreprises, mais avec quelques limites :
Protection souvent restreinte à 1, 3 ou 5 appareils
Les fonctionnalités avancées comme le VPN sont facturées séparément
Pas de console de gestion centralisée dans les formules de base
Pour les entreprises ou familles ayant plusieurs appareils à sécuriser, l’addition grimpe vite.
💼 Avast : une solution flexible, même pour les pros
Avast s’adapte à tous les besoins avec des offres modulables et transparentes :
Licences pour 1 à 10+ appareils, extensibles selon les besoins
VPN, outils de nettoyage, anti-ransomware inclus dans les packs premium
Console de gestion centralisée Avast Business Hub pour les professionnels (gestion à distance, rapports en temps réel, alertes personnalisées)
💸 Conclusion : Avast est plus souple et plus économique sur le long terme, notamment pour les foyers connectés ou les PME multisites.
📞 Support et communauté : qui vous aide le mieux ?
❗ Bitdefender : support pro mais parfois lent à répondre
Bitdefender dispose d’un centre d’aide complet, mais :
Le support technique est parfois lent à traiter les demandes complexes
Le forum communautaire est peu actif
Certaines réponses manquent de clarté pour les non-techniciens
🤝 Avast : support multicanal et communauté active
Avast brille par son accompagnement client :
Assistance par chat, e-mail, téléphone pour les clients pros
Une base de connaissances exhaustive et mise à jour
Une communauté d’utilisateurs active, avec des réponses rapides
Webinaires, tutoriels et documentation gratuite pour accompagner les revendeurs et entreprises
🎧 Avantage Avast : un vrai service client réactif, formé et à l’écoute.
🚀 Pourquoi nous recommandons Avast en 2025
Avast n’est pas seulement un antivirus. C’est une plateforme complète de cybersécurité adaptée aux particuliers comme aux entreprises.
✅ Performances optimisées pour tous les profils d’utilisateurs
✅ Interface accessible, idéale pour une prise en main rapide
✅ Flexibilité des formules, adaptées à chaque besoin
✅ Hub professionnel (Avast Business Hub) pour les prestataires IT, MSP et entreprises
✅ Innovation continue : détection basée sur l’IA, protection dans le cloud, mises à jour automatiques
En 2025, Avast propose une cybersécurité moderne, fluide et évolutive, qui s’adapte aux usages connectés d’aujourd’hui.
🏁 Avast ou Bitdefender ? Le verdict
Après avoir passé en revue les fonctionnalités, performances, tarifs et services, Avast ressort comme la solution la plus complète et équilibrée.
🎯 Pourquoi choisir Avast ?
Une sécurité puissante sans complexité
Une interface claire pour tous les niveaux d’utilisateurs
Des outils pensés pour les familles, indépendants, TPE et PME
Un excellent rapport qualité/prix, sans mauvaise surprise
Un accompagnement technique fiable en cas de besoin
✅ Que vous soyez un particulier soucieux de ses données ou une entreprise cherchant à sécuriser ses équipements, Avast est notre choix numéro 1.
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Résumé : Face à une fraude bancaire, chaque minute compte. Cet article explique clairement les actions à mener dans les 24 heures : contacter sa banque et faire opposition sur ses cartes, sécuriser ses comptes et appareils, déposer plainte et signaler la fraude aux autorités et organismes de consommateurs. Avec des conseils pratiques, des statistiques et des témoignages, il guide le lecteur pour récupérer ses fonds rapidement et renforcer sa protection contre les fraudes futures.
Introduction
Imaginez : vous ouvrez votre application bancaire et là, c’est le choc. Des virements inconnus, des paiements en ligne que vous n’avez jamais autorisés. La panique s’installe. Que faire ? Comment réagir ?
En France, la fraude bancaire reste une réalité préoccupante. En 2023, le montant total de la fraude s’élevait à 1,195 milliard d’euros, avec 7,1 millions d’opérations frauduleuses recensées Regsharp. Bien que les taux de fraude par carte aient atteint un niveau historiquement bas de 0,053 % Banque de France, les attaques en ligne, notamment les arnaques au faux conseiller bancaire, demeurent une menace sérieuse.
Dans cet article, je vous guide pas à pas sur les actions à entreprendre dans les 24 heures suivant une fraude bancaire. Ces premières heures sont cruciales pour limiter les dégâts et sécuriser vos finances.
Partie 1 : Identifier rapidement une fraude bancaire
Dès que vous suspectez une fraude, il est essentiel d’agir vite. Voici les étapes à suivre pour identifier rapidement une activité suspecte sur vos comptes.
Vérifier ses comptes et transactions suspectes
Commencez par consulter attentivement vos relevés bancaires et l’historique de vos transactions. Recherchez les éléments suivants :
Virements ou prélèvements inconnus : des sommes transférées vers des comptes que vous ne reconnaissez pas.
Achats en ligne non autorisés : des paiements effectués sur des sites que vous n’avez jamais visités.
Retraits d’espèces inhabituels : des retraits effectués dans des lieux ou à des horaires inhabituels.
Si vous constatez l’une de ces anomalies, il est probable que vous soyez victime de fraude.
Signes d’alerte fréquents
Plusieurs indices peuvent signaler une tentative de fraude :
Emails ou SMS suspects : des messages prétendant provenir de votre banque, vous demandant de cliquer sur un lien ou de fournir des informations personnelles.
Appels téléphoniques inattendus : des personnes se faisant passer pour des conseillers bancaires, vous sollicitant pour des informations confidentielles.
Sites web non sécurisés : des pages de connexion à votre espace bancaire avec des URL suspectes ou des fautes d’orthographe.
Ces méthodes sont souvent utilisées dans le cadre d’attaques de phishing ou de spoofing. Par exemple, une victime a récemment transféré 54 500 € à des escrocs se faisant passer pour des conseillers de la BNP Le Monde.fr.
Restez vigilant et ne partagez jamais vos informations bancaires par téléphone ou en ligne, sauf si vous êtes certain de l’identité de votre interlocuteur.
Partie 2 : Contacter immédiatement sa banque et bloquer les transactions
Une fois que j’ai identifié une transaction suspecte, je ne perds pas de temps. Les premières heures sont décisives pour limiter les pertes et augmenter les chances de récupérer l’argent. Chaque minute compte, car les fraudeurs peuvent effectuer plusieurs opérations en quelques heures, surtout en ligne. Selon une étude de la Banque de France, plus de 60 % des fraudes bancaires impliquent des virements ou paiements rapides, souvent réalisés avant même que le titulaire ne remarque l’anomalie.
Prévenir sa banque
La première action que je fais est de contacter directement mon conseiller ou le service client de ma banque. Le but est clair : signaler la fraude et demander le blocage immédiat des comptes concernés. Je garde toujours à portée de main les numéros d’urgence bancaires. La plupart des banques disposent d’un service dédié aux fraudes, accessible 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
Lorsque j’appelle, je fournis systématiquement toutes les informations nécessaires : mon identité complète, le numéro de compte concerné, la date et le montant exact des transactions suspectes, ainsi que tout élément pouvant aider à retracer l’opération. Je demande ensuite un blocage temporaire de mon compte afin d’empêcher toute transaction supplémentaire non autorisée. Cette étape est cruciale, car plus l’action est rapide, plus les chances de limiter les pertes sont élevées.
Selon la Fédération Bancaire Française, plus de 70 % des victimes de fraude qui contactent leur banque dans les 24 heures récupèrent la totalité de leurs fonds. Cela démontre à quel point la réactivité est déterminante pour limiter l’impact financier.
Faire opposition sur les cartes et moyens de paiement
En parallèle, je bloque toutes mes cartes bancaires et tous les moyens de paiement liés à mes comptes. Cela inclut non seulement les cartes de débit et de crédit, mais également les chèques et les prélèvements automatiques. Contacter la banque pour stopper tout paiement en cours permet de limiter les débits frauduleux.
Je pense aussi aux applications de paiement mobile. Dans la précipitation, il est facile d’oublier que ces apps sont reliées directement à mon compte. Une désactivation temporaire évite que le fraudeur ne puisse effectuer des achats ou transferts. Certaines plateformes proposent même une fonction d’opposition immédiate en ligne, pratique lorsque le temps presse.
Étudier les options de remboursement et assurance
Il ne suffit pas de bloquer les transactions. Je m’informe toujours sur les options de remboursement et les assurances bancaires qui couvrent la fraude. Certaines banques offrent une protection complète, incluant la récupération des sommes perdues en cas de fraude en ligne.
Je vérifie mon contrat d’assurance bancaire pour savoir si ce type de sinistre est couvert et quelles sont les démarches à suivre. Généralement, il est nécessaire de remplir un formulaire de contestation et de fournir toutes les preuves possibles : captures d’écran des transactions, emails, SMS de confirmation, etc. Les délais sont également importants : en général, la contestation doit être effectuée dans les 13 mois suivant la fraude.
Je me rappelle le témoignage de Claire, une cliente qui a perdu 1 200 € dans une arnaque par phishing. En contactant sa banque immédiatement, elle a réussi à récupérer l’intégralité de la somme en moins de 48 heures. Son cas illustre bien pourquoi chaque minute compte et pourquoi il ne faut jamais hésiter à agir rapidement.
En résumé, contacter la banque et bloquer toutes les transactions suspectes est une étape essentielle pour limiter les pertes et faciliter le remboursement. Cela demande de la réactivité, de l’organisation et un suivi rigoureux des démarches administratives. Plus je suis méthodique et rapide, plus j’augmente mes chances de retrouver mon argent intact.
Faire opposition à sa carte bancaire – BNP Paribas
Pourquoi faire opposition ?
En cas de perte, vol ou utilisation frauduleuse de votre carte bancaire, il est crucial d’agir rapidement. L’opposition est enregistrée immédiatement, sans besoin de confirmation écrite.
Comment procéder ?
En ligne : Utilisez le service d’opposition sur carte du site, muni de votre numéro client.
Par téléphone :
Carte Visa Infinite : (00 33) 01 47 92 50 60 (24h/24, 7j/7)
Carte Visa Premier : (00 33) 01 40 14 10 10 (24h/24, 7j/7)
⚠️ Prévenir le vol de carte bancaire : 6 réflexes à adopter
Ne laissez jamais votre carte sans surveillance, même dans un café ou un restaurant.
Rangez-la dans une poche intérieure ou un sac fermé pour éviter les pickpockets.
Évitez de la mettre dans la poche arrière de votre jean.
Ne la prêtez à personne, même à un collègue de confiance.
Restez concentré lors des retraits aux distributeurs automatiques.
Consultez régulièrement vos comptes pour détecter toute activité suspecte.
📞 En cas de perte ou de vol
Désactivez immédiatement l’usage de votre carte via l’application mobile ou le site internet de votre banque.
Contactez votre banque pour faire opposition :
Crédit Agricole :
Autres banques :
💳 En cas de fraude
Informez immédiatement votre conseiller bancaire.
Faites opposition à votre carte pour éviter toute utilisation frauduleuse supplémentaire.
💰 Remboursement des paiements frauduleux
Si le montant dépasse la franchise légale de 50 €, vous serez remboursé.
Si le montant est inférieur à 50 €, la franchise s’applique, et vous serez remboursé de la différence.
Aucune franchise n’est appliquée si l’opération frauduleuse n’a pas utilisé vos données de sécurité personnelles (par exemple, un achat en ligne sans votre code).
Si vous avez perdu votre code secret, vous pouvez le retrouver instantanément en ligne dans votre espace cartes, section « Consulter mon code secret ».
Même après avoir contacté ma banque et fait opposition sur mes cartes, je sais qu’il est crucial de signaler officiellement la fraude. Déposer plainte permet de créer une trace légale et augmente considérablement les chances que les autorités retrouvent le fraudeur. Cela peut aussi accélérer le remboursement par ma banque ou par mon assurance.
Déposer plainte auprès des forces de l’ordre
Je me rends au commissariat ou à la gendarmerie avec tous les documents prouvant la fraude : relevés bancaires, emails suspects, captures d’écran des transactions ou conversations avec la banque. Je remplis le formulaire de plainte et je reçois un récépissé. Ce récépissé est indispensable pour les démarches auprès de ma banque et des assurances.
Selon le ministère de l’Intérieur, plus de 40 000 plaintes pour fraude bancaire sont déposées chaque année en France. Ces démarches facilitent les enquêtes et permettent, dans certains cas, de récupérer une partie des fonds détournés. De nombreux témoignages de victimes montrent que c’est souvent ce récépissé qui accélère les remboursements.
Signaler la fraude en ligne
Je n’oublie pas de signaler la fraude sur les plateformes officielles, comme le site www.internet-signalement.gouv.fr. Cette démarche permet de créer un historique numérique et d’alerter d’autres victimes potentielles. Certaines banques, comme BNP Paribas ou le Crédit Agricole, offrent également un formulaire de signalement en ligne pour les fraudes par virement ou paiement électronique.
L’avantage de ce signalement en ligne est double : je sécurise mes informations et j’aide les experts à suivre la fraude. Des études de la CNIL montrent que plus de 60 % des fraudes numériques sont détectées grâce aux signalements en ligne. Cela prouve l’importance de cette étape pour la prévention collective.
Contacter les services de protection des consommateurs
Je contacte aussi les organismes de protection des consommateurs, tels que la DGCCRF ou UFC-Que Choisir. Ces organismes peuvent donner des conseils supplémentaires, m’aider à contester une transaction et mettre en place des alertes pour d’autres clients. En plus, signaler la fraude à ces services permet de participer à des actions de prévention qui protègent tous les consommateurs.
Suivi après le dépôt de plainte
Après avoir déposé ma plainte, je garde une trace de toutes les démarches : récépissés, échanges avec la banque et avec les autorités. Je vérifie régulièrement mes comptes et je note toute transaction suspecte. Certains experts recommandent de relancer la banque tous les 2 à 3 jours pour vérifier l’avancement du remboursement.
De plus, je profite de cette période pour renforcer ma sécurité en ligne : changer mes mots de passe, activer l’authentification à deux facteurs et installer un antivirus performant comme Avast pour protéger mes appareils. Des études montrent qu’un utilisateur bien protégé réduit de 70 % le risque de nouvelles attaques.
Conclusion : Réagir vite et rester vigilant
Face à une fraude bancaire, chaque minute compte. J’ai appris que la première action, c’est de contacter ma banque et de bloquer toutes les transactions suspectes. Ensuite, faire opposition sur mes cartes et documenter toutes les preuves est indispensable pour pouvoir agir efficacement.
Déposer plainte et signaler la fraude aux autorités et services spécialisés permet non seulement de récupérer mon argent mais aussi de participer à la lutte contre les fraudeurs. Le signalement aux organismes de consommateurs et aux plateformes en ligne est une étape clé pour renforcer la sécurité collective.
Enfin, je garde en tête que la prévention reste le meilleur moyen de se protéger. Je change régulièrement mes mots de passe, j’utilise un antivirus robuste comme Avast, et je reste attentif aux emails et aux liens suspects. Des études de la Banque de France montrent que les victimes qui réagissent rapidement et sécurisent leurs comptes ont 85 % de chances de récupérer leurs fonds.
En résumé, réagir vite, agir méthodiquement et renforcer sa vigilance sont les clés pour limiter les dégâts et protéger durablement mes finances. Avec ces bonnes pratiques, je peux reprendre confiance et naviguer en toute sécurité dans mes opérations bancaires.
FAQ : Fraude bancaire – Que faire dans les 24 heures
1. Que faire en priorité après une fraude bancaire ? Je contacte immédiatement ma banque pour signaler la fraude et faire opposition sur mes cartes ou comptes. C’est l’étape la plus urgente pour limiter les pertes.
2. Comment faire opposition à ma carte bancaire selon ma banque ? Chaque banque a sa procédure :
BNP Paribas : appeler le 3477 depuis la France (24 h/24) ou utiliser l’application mobile.
Crédit Agricole : composer le 09 69 39 92 91 (service accessible 24 h/24) ou passer par l’application.
Société Générale : contacter le 0 805 08 00 05 ou utiliser l’espace client en ligne.
3. Dois-je déposer plainte après avoir contacté ma banque ? Oui, déposer plainte au commissariat ou à la gendarmerie est indispensable. Cela crée une trace légale et accélère souvent le remboursement.
4. Quels documents dois-je préparer pour signaler la fraude ? Je rassemble les relevés bancaires, captures d’écran des transactions suspectes, emails frauduleux et tout échange avec la banque. Ces preuves sont essentielles pour les autorités et la banque.
5. Comment prévenir de futures fraudes bancaires ? Je sécurise mes comptes avec des mots de passe forts et uniques, j’active l’authentification à deux facteurs et j’installe un antivirus fiable comme Avast pour protéger mes appareils. Je reste aussi vigilant face aux emails et liens suspects.
Dans un monde numérique de plus en plus menacé, le choix d’un antivirus ne se résume plus à une question de performance brute. Il s’agit aussi de protection des données personnelles, de transparence, de conformité aux lois internationales et de confiance à long terme. Deux grands noms dominent encore le marché en 2025 : Avast et Kaspersky. Mais lequel est vraiment le meilleur choix aujourd’hui ?
➡️ Dans cet article, nous analysons en profondeur leurs points forts et faibles, pour démontrer pourquoi Avast est aujourd’hui l’option la plus complète, éthique et fiable pour les particuliers comme pour les entreprises.
Kaspersky, une solution puissante mais controversée
Une réputation forgée sur la performance
Kaspersky bénéficie d’une solide réputation en matière de détection des menaces. Ses performances dans les tests indépendants sont généralement élevées :
Très bon taux de détection des malwares
Interface professionnelle, claire et épurée
Suite antivirus complète, incluant firewall, anti-spam, et protection bancaire
Cependant, ces atouts techniques ne suffisent plus à faire pencher la balance en sa faveur en 2025.
Des controverses sur la confidentialité
Kaspersky est régulièrement au cœur de controverses géopolitiques :
Proximité présumée avec le gouvernement russe, comme souligné par plusieurs enquêtes journalistiques et décisions gouvernementales en Europe et aux États-Unis
Restrictions dans plusieurs pays, notamment l’interdiction d’utilisation dans certaines administrations publiques (USA, Allemagne)
Manque de transparence sur le traitement des données utilisateur, notamment en ce qui concerne la localisation des serveurs
🔒 Dans un contexte de cybersécurité globalisé, ces zones d’ombre sur la souveraineté des données posent un réel problème.
Pourquoi Avast est un choix plus sûr et plus complet en 2025
Une sécurité de pointe certifiée par les grands laboratoires indépendants
Avast n’a rien à envier à ses concurrents sur le plan technologique :
Certification AV-TEST et AV-Comparatives avec des scores élevés en protection, performance et facilité d’usage
Détection en temps réel assistée par intelligence artificielle
Cloud Intelligence pour bloquer les menaces émergentes avant même qu’elles n’atteignent votre appareil
Boucliers personnalisables : Web, Mail, Ransomware, Comportemental, etc.
⚙️ Résultat : une protection proactive qui s’adapte aux usages des particuliers comme des professionnels.
Une entreprise 100 % orientée protection et transparence
Siège en Europe (République Tchèque), soumis au RGPD
Traitement des données transparent, avec des politiques claires et accessibles
Membre actif de la Cyber Threat Alliance, partageant en open data les menaces identifiées
Pas de lien avec des intérêts gouvernementaux ou militaires, contrairement à d’autres concurrents
🛡️ Choisir Avast, c’est s’aligner sur une entreprise qui respecte vos droits numériques.
Une suite de sécurité moderne et multi-appareils
Avast propose une suite de sécurité complète, conçue pour s’adapter à tous vos besoins numériques :
VPN intégré pour une navigation anonyme et sécurisée
Protection automatique contre les connexions non sécurisées
Avast, le choix de la confiance, de la performance et de l’éthique
Avast et Kaspersky sont deux antivirus puissants. Mais dans le monde post-RGPD et en contexte de géopolitique tendue, le choix doit aller au-delà des simples performances techniques.
Dans une petite ville de province, la maison médicale Les Asturies accueillait chaque jour des dizaines de patients. Trois médecins, une secrétaire dévouée, un système numérique fluide : dossiers centralisés, agenda en ligne, facturation connectée. Tout semblait fonctionner parfaitement… jusqu’à ce lundi matin.
En ouvrant son ordinateur, la secrétaire découvrit un message glaçant : « Vos fichiers ont été chiffrés. Pour récupérer vos données, payez 3 Bitcoins. »
En un instant, le quotidien du cabinet fut paralysé : dossiers patients, ordonnances, courriels, tout était bloqué.
Le chaos au cœur de la maison médicale
Privés de leurs outils numériques, les médecins durent revenir aux méthodes d’un autre temps :
Carnets et feuilles volantes pour les consultations.
Ordonnances manuscrites, parfois illisibles.
Téléphone fixe pour contacter laboratoires et pharmacies.
La secrétaire improvisa un agenda papier, mais les rendez-vous s’embrouillaient, la salle d’attente s’énervait et la confiance des patients s’effritait.
Conséquences immédiates :
Stress médical et risque d’erreurs sans accès aux antécédents.
Culpabilité et pression sur l’assistante.
Inquiétudes des patients concernant la confidentialité de leurs données.
Le diagnostic : un ransomware évitable
Appelée en urgence, une société de cybersécurité confirma le pire : un ransomware avait exploité une faille dans un logiciel non mis à jour.
Durée de la crise : 10 jours pour nettoyer et restaurer partiellement le système.
Pertes : une semaine de dossiers médicaux disparus à jamais.
Impact : une confiance des patients longue à regagner.
Comme l’a reconnu le Dr Lopez : « On pensait que ça n’arrivait qu’aux grandes entreprises. On s’est trompés. »
Un problème bien plus répandu qu’on ne croit
Selon Cybermalveillance.gouv.fr :
400 attaques de phishing ont visé les établissements de santé en 2023.
70 % des cabinets fonctionnent encore avec des systèmes informatiques obsolètes.
Plus de 60 % des professionnels de santé ne savent pas identifier un email frauduleux.
Les cybercriminels ciblent aussi les petites structures, car elles sont souvent les moins protégées.
Comment protéger efficacement un cabinet médical ?
Les leçons tirées de ce cas sont claires : la prévention est la clé.
Mettre à jour régulièrement les logiciels.
Former le personnel aux menaces numériques.
S’équiper d’une protection professionnelle fiable.
Avec Avast Essential Business Security, les cabinets de santé peuvent sécuriser tous leurs postes et serveurs, centraliser la gestion via le Business Hub, et bénéficier de tarifs adaptés aux petites structures médicales.
Conclusion : la cybersécurité, un enjeu vital pour la santé
L’histoire du cabinet Les Asturies illustre une réalité trop souvent négligée : un cabinet médical, même en province, est une cible précieuse pour les cyberattaques.
Protéger les données des patients n’est pas seulement une obligation légale, c’est aussi une question de confiance et de continuité des soins.
👉 Vous êtes professionnel de santé ? Ne laissez pas votre cabinet sans défense. Découvrez Avast Business et assurez la sécurité de vos patients… et de votre tranquillité d’esprit.
Il est 9h12 dans les bureaux d’ALP, une PME de 20 salariés spécialisée dans le matériel médical. L’ambiance est détendue : café chaud, discussions légères, les premiers mails s’ouvrent. Claire, assistante commerciale, reçoit un e-mail d’un fournisseur habituel. Objet banal : « Nouvelle facture en pièce jointe ». Sans méfiance, elle clique.
En un instant, l’écran devient noir. Puis un message rouge s’affiche : « Vos fichiers ont été chiffrés. Pour les récupérer, payez 25 000 € en Bitcoin dans les 72h. »
Un rançongiciel venait de frapper.
Le chaos s’installe
En quelques minutes, tous les ordinateurs de l’entreprise sont paralysés. Les employés, stupéfaits, réalisent que leurs données sont prises en otage. Les commandes clients sont bloquées, le site web inaccessible, et le service logistique tente de travailler « à l’ancienne » sur papier, sans les références produits.
M. L., dirigeant de l’entreprise, prend une décision courageuse : refuser de payer la rançon. Il contacte immédiatement la gendarmerie, son assureur et un prestataire informatique d’urgence. Une cellule de crise s’improvise.
Mais les dégâts sont déjà lourds : appels de clients mécontents, fournisseurs impatients, employés démoralisés.
Des semaines pour se relever
Jour 1 à 3 : activité totalement bloquée.
Semaine 2 : une vieille sauvegarde est restaurée, obligeant les équipes à tout réintégrer manuellement.
Deux mois : nécessaires pour retrouver un fonctionnement normal.
Les conséquences sont sévères :
30 % du chiffre d’affaires perdu
Des clients majeurs partis à la concurrence
Des relations fournisseurs fragilisées
Pour les salariés, la peur de perdre leur emploi s’ajoute à la colère. Pour les clients, la confiance est ébranlée. Pour le dirigeant, c’est une humiliation : il pensait que la cybersécurité concernait seulement les grandes entreprises.
Une leçon amère pour toutes les PME
Cette attaque a révélé une réalité trop souvent négligée : les PME sont des cibles privilégiées des cybercriminels.
60 % des victimes de malwares sont des petites et moyennes entreprises.
50 % des cyberattaques commencent par un simple mail de phishing.
Les pertes moyennes dépassent 10 000 €.
29 jours : c’est le délai moyen pour retrouver une activité normale. (Source : Cybermalveillance.gouv.fr)
👉 Une cyberattaque n’arrive pas qu’aux autres.
Comment se protéger efficacement ?
L’expérience d’ALP montre qu’aucune entreprise n’est à l’abri. Mais il existe des solutions simples et accessibles :
Centralisez la gestion de la sécurité grâce à Avast Business Hub.
Maîtrisez votre budget avec des tarifs adaptés à la taille et aux besoins de votre entreprise.
Conclusion
ALP a payé le prix fort pour comprendre que la cybersécurité est un investissement, pas une option. Aujourd’hui, l’entreprise est mieux préparée et protégée, mais elle n’oubliera jamais cette leçon.
➡️ Et vous, votre PME est-elle prête à faire face à une cyberattaque ?
Un lundi de janvier, le Collège Saint-Jacques se préparait à entamer une semaine ordinaire. Professeurs, élèves et personnel administratif utilisaient l’ENT (Espace Numérique de Travail) pour gérer leurs cours, devoirs et bulletins scolaires.
À 8h17, tout s’est arrêté. Un écran noir affichant un message rouge glaçant est apparu sur les ordinateurs : « Vos données sont chiffrées. Payez pour les récupérer. »
Ce qui ressemblait d’abord à un bug s’est rapidement transformé en chaos : serveurs bloqués, imprimantes hors service, bornes Wi-Fi inaccessibles.
Le choc et l’impuissance
Les enseignants ne pouvaient plus utiliser leurs supports numériques.
L’administration avait perdu l’accès aux dossiers des élèves, aux notes et aux absences.
Les élèves oscillaient entre excitation et inquiétude.
Les familles, alertées par rumeurs, inondaient le secrétariat d’appels.
En quelques heures, l’établissement a plongé dans une crise totale.
Des semaines de perturbation
Pendant près de six semaines, le collège a dû revenir aux méthodes d’il y a vingt ans :
Cours sur tableau noir et photocopies,
Fiches papier pour l’administration,
Annonces faites au micro plutôt que par mail,
Retards dans l’envoi des bulletins et des inscriptions au lycée.
Même si certaines données ont été récupérées grâce à de vieilles sauvegardes, une partie a été définitivement perdue.
Pourquoi le collège était vulnérable ?
L’audit post-crise a mis en évidence des failles évidentes :
Logiciels non mis à jour depuis des mois,
Absence de sauvegardes régulières,
Personnel non formé aux cyber-risques,
Budget cybersécurité quasi inexistant.
Un simple clic sur une pièce jointe piégée avait suffi à tout paralyser.
Une réalité qui ne concerne pas que les autres
Selon Cybermalveillance.gouv.fr :
Les attaques par phishing ciblant les écoles ont augmenté de 75 % en 2025.
Dans 30 % des cas, l’hameçonnage reste la cause principale.
62 % des établissements secondaires touchés ont payé la rançon.
Le Collège Saint-Jacques illustre un fait incontournable : les écoles sont devenues des cibles privilégiées des cybercriminels.
Les cyberattaques contre les collectivités locales ne cessent d’augmenter en France. La mairie en a fait la douloureuse expérience : un ransomware a paralysé ses services pendant plus de dix jours. Ce cas concret illustre les conséquences dramatiques d’un manque de protection et souligne l’importance d’investir dans des solutions de cybersécurité pour les collectivités.
Une attaque informatique qui a paralysé une mairie entière
Un mardi matin, les agents municipaux ont découvert que tous leurs fichiers étaient cryptés par un ransomware. Impossible d’accéder aux actes d’état civil, aux factures ou encore aux dossiers d’urbanisme.
Les impacts immédiats ont été considérables :
Blocage total des services administratifs : cartes d’identité, permis de construire, factures.
Paralysie du service social, incapable de traiter les aides urgentes.
Citoyens inquiets et mécontents, multipliant les appels.
Retour forcé au papier, avec perte de temps et de productivité.
Cet exemple montre qu’une cyberattaque en mairie peut toucher directement la vie quotidienne des citoyens et la réputation d’une collectivité.
Pourquoi cette mairie a été victime d’un ransomware ?
L’analyse de la cyberattaque a révélé des failles fréquentes dans les collectivités locales :
Mises à jour logicielles non effectuées → vulnérabilités exploitées par les hackers.
Mots de passe faibles et réutilisés → porte d’entrée idéale pour les cybercriminels.
Absence d’antivirus professionnel et de protection anti-ransomware.
Manque de sensibilisation du personnel à la cybersécurité.
Ces erreurs, courantes dans de nombreuses mairies, transforment une infrastructure fragile en cible facile.
Les conséquences pour la collectivité
Pendant 10 jours, la mairie a dû fonctionner sans ses outils numériques :
Retards accumulés dans le traitement des dossiers.
Fatigue et stress du personnel.
Mécontentement des habitants, confrontés à des services interrompus.
Une attaque de ce type peut coûter cher à une collectivité, autant financièrement qu’en termes d’image et de confiance des citoyens.
Cybersécurité et collectivités locales : un enjeu national
Les chiffres parlent d’eux-mêmes (source : Cybermalveillance.gouv.fr) :
1 collectivité sur 10 a déjà subi une cyberattaque.
30 % des attaques proviennent du phishing.
45 % entraînent une interruption d’activité.
Ces données confirment que la protection contre les ransomwares en mairie et la cybersécurité des collectivités sont désormais des priorités stratégiques.
Comment protéger efficacement une mairie contre les ransomwares ?
Pour éviter qu’un tel scénario ne se reproduise, il est essentiel de mettre en place une stratégie de cybersécurité adaptée aux collectivités locales :
Déployer une solution professionnelle comme Avast Essential Business Security, qui protège postes et serveurs contre les ransomwares, malwares et tentatives de phishing.
Centraliser la gestion de la sécurité avec Avast Business Hub pour surveiller et contrôler tous les terminaux.
Former régulièrement les agents municipaux aux bonnes pratiques de cybersécurité (mots de passe, vigilance face aux emails suspects).
Planifier des mises à jour automatiques pour combler les failles exploitées par les pirates.
Ces mesures simples réduisent drastiquement les risques d’attaque et garantissent la continuité des services publics.
Conclusion : investir dans la cybersécurité des collectivités, une nécessité
L’expérience de la mairie de Saint-Laurent-sur-Mer prouve qu’aucune commune, grande ou petite, n’est à l’abri d’une cyberattaque. Renforcer la sécurité informatique des collectivités locales n’est plus une option, mais une obligation pour protéger les données, assurer la continuité des services et préserver la confiance des citoyens.
À l’EHPAD Sainte-Ange, la journée avait commencé comme toutes les autres. Claire, infirmière depuis quinze ans, allume son ordinateur pour vérifier les prescriptions du jour. Mais au lieu du dossier médical habituel, un écran rouge s’affiche : “Vos données ont été chiffrées. Pour les récupérer, payez la rançon.”
En quelques minutes, l’ensemble du système informatique de l’établissement est paralysé. Les soignants, démunis, ressortent papiers et carnets. Les résidents, inquiets, perçoivent immédiatement le désarroi du personnel.
Le chaos au quotidien
Sans accès aux dossiers numériques, les soignants doivent tout gérer à la main : prescriptions, plannings, suivi médical… Un véritable retour en arrière qui accroît le risque d’erreur. Les familles, mises au courant, expriment colère et angoisse : — “Comment être sûr que mon père reçoit son traitement ?”
Sous la pression, la standardiste craque. Le directeur, lui, ne dort plus. Entre appels à la gendarmerie, à l’ARS et aux prestataires IT, une pensée revient sans cesse : “J’aurais dû investir dans la cybersécurité.”
Deux mois pour se relever
L’établissement met près de deux mois à retrouver une activité normale. Une vieille sauvegarde permet de récupérer partiellement les données, mais deux mois entiers de dossiers médicaux restent perdus. Même après le retour à la normale, le personnel vit dans la crainte : chaque démarrage d’ordinateur trop lent fait resurgir le traumatisme. Les familles, elles, demandent désormais à chaque réunion : — “La sécurité, vous en êtes sûrs cette fois ?”
Un cas qui rappelle une réalité : cela n’arrive pas qu’aux autres
Les chiffres sont clairs :
+29 % d’attaques par phishing visant les établissements de santé et maisons de retraite.
89 % des EHPAD n’ont pas de procédure de sauvegarde fiable.
50 jours : c’est le délai moyen pour retrouver une activité normale après une cyberattaque.
Le montant moyen exigé par les hackers dépasse 30 000 €.
Comment protéger un EHPAD ?
La cybersécurité doit être considérée au même niveau que la sécurité incendie. Pour éviter qu’un tel scénario ne se reproduise, les établissements peuvent s’appuyer sur des solutions adaptées :
Avast Essential Business Security : pour protéger tous les postes et serveurs contre virus, ransomwares et phishing.
Avast Business Hub : pour centraliser la gestion de la sécurité, même avec une petite équipe.
Des tarifs pensés pour s’adapter à la taille et aux besoins de chaque structure.
Le cas de l’EHPAD Sainte-Ange illustre la fragilité des structures médico-sociales face aux cyberattaques. Derrière les chiffres, il y a des soignants débordés, des familles inquiètes et des résidents vulnérables. Protéger ses données, ce n’est pas une option : c’est une responsabilité.
🔷 Gérer efficacement la cybersécurité de vos clients PME avec un seul outil
En 2025, les menaces informatiques se multiplient, les attentes des clients PME augmentent, et les prestataires IT doivent répondre à un double défi : protéger efficacement plusieurs infrastructures tout en optimisant leur temps. Face à cette complexité croissante, la centralisation devient un impératif stratégique.
C’est ici qu’intervient Avast Business Hub, une plateforme de gestion de la cybersécurité pensée pour les prestataires IT. Simple, complète et puissante, elle vous permet de piloter, surveiller et sécuriser l’ensemble de vos clients depuis une seule interface cloud.
🟩 Partie 1 – Qu’est-ce qu’Avast Business Hub et pourquoi l’utiliser ?
🔹 Un tableau de bord centralisé pour tous vos clients
Le Business Hub d’Avast vous offre une vision consolidée de tous vos clients depuis un seul tableau de bord. Que vous gériez 5 ou 500 entreprises, l’interface cloud vous permet de passer d’un client à un autre en quelques clics, tout en conservant une clarté maximale.
Multi-tenants : gérez plusieurs organisations sans confusion
Tableau de bord intuitif : aperçu rapide des statuts, incidents, alertes
Accès sécurisé : gestion des droits par technicien
➡️ Objectif : Faciliter la gestion multi-client, tout en gardant le contrôle.
Démo Avast Business Hub
🔹 Une gestion en temps réel des menaces et des appareils
Grâce à la surveillance en temps réel, le Business Hub vous notifie instantanément en cas d’alerte critique ou de comportement suspect sur un terminal client.
Détection instantanée des malwares, ransomwares, comportements anormaux
Alertes automatiques configurables par email ou sur l’interface
Suivi de l’état de santé des appareils : niveau de protection, mises à jour, actions recommandées
➡️ Avantage clé : Vous pouvez intervenir immédiatement, sans devoir attendre un appel client.
🔹 Une solution pensée pour les prestataires IT
Le Business Hub est conçu pour les MSP (Managed Service Providers). Il répond aux attentes spécifiques des prestataires IT avec des fonctionnalités adaptées :
Déploiement à distance sans déplacement chez le client
Automatisation des tâches répétitives (analyses, mises à jour)
Rapports personnalisables à envoyer aux clients
Gestion par rôles : délégation sécurisée à vos équipes
➡️ Pourquoi c’est important ? Cela vous permet de scaler votre activité sans alourdir votre charge de travail.
🟩 Partie 2 – Les fonctionnalités clés du Business Hub qui facilitent votre quotidien
🔹 Déploiement rapide des solutions Avast Business
Avec Avast Business Hub, le déploiement de vos solutions antivirus se fait à distance, en quelques clics.
Compatibilité avec les versions Essential, Premium, Ultimate
Installation silencieuse sur les postes clients
Paramétrage initial centralisé : politiques de sécurité, exclusions, modules actifs
➡️ Résultat : vous gagnez du temps, vous réduisez les erreurs, et vous pouvez équiper un parc entier en moins d’une heure.
🔹 Automatisation des tâches récurrentes
Le Business Hub vous permet d’automatiser une grande partie de votre activité :
Planification des analyses antivirus selon le calendrier client
Gestion automatique des mises à jour
Génération et envoi de rapports périodiques
Alertes et réponses automatiques à certains types de menaces
➡️ Vous passez moins de temps sur les opérations routinières, et plus sur la valeur ajoutée.
🔹 Rapports détaillés et personnalisables pour vos clients
Envoyez à vos clients des rapports de sécurité professionnels qui valorisent votre travail :
Contenu pédagogique pour valoriser les risques évités
➡️ Ces rapports sont des leviers de fidélisation puissants. Ils montrent concrètement votre valeur ajoutée.
🔹 Supervision de tous les terminaux et services en un coup d’œil
Le Business Hub vous permet de suivre :
L’état de chaque terminal
Les périphériques non protégés
Le niveau d’activité des protections : Web Shield, Email Shield, pare-feu, etc.
Les appareils inactifs ou nécessitant une attention
➡️ Une vision complète pour un contrôle total.
🟩 Partie 3 – Comment le Business Hub améliore vos marges et fidélise vos clients ?
🔹 Un gain de temps = une meilleure rentabilité
En centralisant l’ensemble de vos opérations de cybersécurité, Avast Business Hub vous permet de :
Gérer plus de clients avec la même équipe
Réduire vos temps d’intervention
Minimiser les déplacements physiques
➡️ Moins de temps perdu = plus de contrats gérés = hausse de vos marges.
🔹 Une expérience client plus fluide et sécurisée
Le client final bénéficie lui aussi d’un service plus fluide et proactif :
Interventions plus rapides
Mises à jour régulières et invisibles
Sensibilisation continue via les rapports
➡️ Cette qualité de service génère de la confiance et un sentiment de sécurité qui renforce la relation commerciale.
🔹 Des opportunités de ventes croisées
Le Business Hub est aussi une porte d’entrée pour développer vos ventes :
VPN pour les télétravailleurs
Gestion des mots de passe (Avast Password Protection)
Outils de surveillance réseau
Intégration avec des outils RMM tiers
➡️ Chaque nouveau besoin détecté devient une occasion de vente complémentaire.
🟦 Conclusion – Avast Business Hub : un atout stratégique pour les prestataires IT
En résumé, Avast Business Hub est bien plus qu’un simple tableau de bord : c’est une plateforme stratégique qui centralise votre activité, améliore votre efficacité opérationnelle, fidélise vos clients et booste vos revenus.
✅ Ce qu’il faut retenir :
Gestion multi-client simplifiée
Déploiement rapide et supervision centralisée
Automatisation des tâches clés
Valorisation de votre prestation via des rapports clients
Accroissement des marges et des opportunités commerciales
🔸 Entre protection et intrusion : l’ambivalence des antivirus intelligents
L’intelligence artificielle (IA) s’impose aujourd’hui comme un pilier de la cybersécurité moderne. Les antivirus qui en intègrent les technologies ne se contentent plus de reconnaître des signatures malveillantes préexistantes : ils apprennent, s’adaptent, prédisent. Mais cette efficacité accrue suscite une inquiétude croissante : celle de la vie privée des utilisateurs.
Pour détecter les menaces de façon proactive, ces logiciels doivent analyser en profondeur les comportements et activités numériques. Cela implique une collecte massive de données, parfois sensibles, qui alimente les algorithmes d’apprentissage automatique. Cette collecte est-elle encadrée ? Les données sont-elles anonymisées ? Et surtout, peut-on vraiment concilier protection numérique et respect de la vie privée ?
Dans cet article, nous faisons le point sur les réalités des antivirus IA, les types de données collectées, le cadre réglementaire européen et les différences de politique de confidentialité entre deux grands noms du secteur : Avast et Norton.
🟢 1. Ce que change l’IA dans les antivirus modernes
🔹 Détection proactive, apprentissage automatique et comportemental
Les antivirus traditionnels reposaient principalement sur des bases de signatures virales mises à jour régulièrement. Mais cette approche atteint ses limites face à des cybermenaces toujours plus polymorphes.
L’IA, via le machine learning (apprentissage automatique), permet de détecter des comportements anormaux sans que la menace ait été préalablement identifiée. Par exemple :
⚫ Une application qui tente d’accéder à des fichiers système sensibles sans justification.
⚫ Un programme qui chiffre des données rapidement (à la manière d’un ransomware).
⚫ Une connexion à des serveurs exotiques en dehors des comportements habituels.
Les antivirus IA analysent les données de télémétrie (activités utilisateurs, processus en cours, exécutables lancés, etc.) pour construire des modèles de comportement typique, et alerter lorsqu’un écart significatif survient.
🔹 Analyse en temps réel et cloud computing
L’intelligence des antivirus modernes repose en grande partie sur l’analyse cloud. Plutôt que de fonctionner uniquement en local, les solutions IA s’appuient sur des infrastructures cloud pour :
Mutualiser les données de millions d’utilisateurs.
Repérer des tendances mondiales (ex : propagation d’une attaque).
Entraîner les modèles IA sur de grands volumes de données.
Par conséquent, les antivirus envoient de manière automatique certaines données vers les serveurs distants des éditeurs. Cela pose inévitablement la question de ce qui est collecté, comment c’est stocké, et à quelles fins.
🔹 Une meilleure sécurité… au prix de plus de données ?
L’efficacité d’un antivirus IA repose sur la qualité et la quantité des données analysées. Plus un éditeur dispose d’informations sur les comportements normaux et malveillants, plus il peut affiner ses algorithmes de détection.
Mais ce besoin de collecte entraîne une exposition accélérée des données utilisateurs :
Historique de navigation.
Programmes utilisés.
Fichiers analysés ou exécutés.
Géolocalisation approximative.
Adresses IP.
Certains utilisateurs ou entreprises considèrent ces pratiques comme intrusives, même si elles sont souvent présentées comme anonymes ou pseudonymisées.
🟢 2. Quelles données sont réellement collectées ?
🔹 Typologie des données collectées par les antivirus IA
En fonction de l’éditeur, les données collectées peuvent inclure :
Informations sur l’appareil : OS, modèle, identifiants uniques.
Informations sur les fichiers : noms, tailles, hachages cryptographiques, contenu partiel pour analyse.
Historique de navigation (URL visitées, durée de session, type de navigateur).
Comportements utilisateur : clics, timings, mouvements de souris.
Applications installées ou lancées.
Connexions réseau : IP, ports, fréquence.
Ces données sont utilisées à des fins de :
Détection de malwares (fichiers suspects).
Prévention des intrusions (comportements anormaux).
Amélioration des produits (R&D).
Création de rapports statistiques.
🔹 Consentement, anonymisation, stockage : le cadre légal en Europe
Dans l’Union Européenne, le RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données) impose :
Un consentement clair et explicite pour toute collecte de données personnelles.
Une obligation de minimisation (ne collecter que ce qui est strictement nécessaire).
Le droit à l’oubli, à la portabilité et à l’accès aux données.
Une notification en cas de violation de données.
Les éditeurs doivent également indiquer :
La durée de conservation.
La localisation des serveurs (UE ou hors UE).
Les mesures de sécurité mises en place.
🔹 Où se situe la ligne rouge pour les entreprises ?
Pour les entreprises utilisatrices, certaines données peuvent être très sensibles :
Données RH (salaires, candidatures).
Données stratégiques (plans, budgets, feuilles de route).
Données commerciales (CRM, contrats).
Les DSI doivent s’assurer que l’antivirus choisi :
Offre un contrôle granulaire sur la télémétrie.
Propose des modes de fonctionnement hors ligne ou restreints.
Chiffre les données en transit et au repos.
Permet un audit clair des flux de données.
🟢 3. Avast vs Norton : deux visions de la confidentialité
🔹 Politique de confidentialité d’Avast
Avast (filiale de Gen Digital) a fait l’objet d’une controverse en 2019-2020 suite à la revente de données de navigation anonymisées via sa filiale Jumpshot. Depuis, l’entreprise a :
Fermé Jumpshot définitivement.
Révisé sa politique de confidentialité.
Renforcé la transparence sur ses pratiques.
Aujourd’hui, Avast propose :
Une télémétrie configurable dans ses produits (mode strict, partiel, complet).
Une anonymisation des données collectées.
Un portail utilisateur pour télécharger et supprimer ses données.
Le traitement se fait principalement sur des serveurs situés en UE et aux USA, avec un chiffrage avancé.
🔹 Politique de confidentialité de Norton (Gen Digital)
Norton, qui appartient également à Gen Digital, adopte une approche plus « compliance-centric ». Sa politique repose sur :
Une conformité stricte avec le RGPD, CCPA et autres lois locales.
Un principe de privacy-by-design.
Une documentation exhaustive des données collectées et leur usage.
Norton offre également des outils de contrôle utilisateur, bien que parfois moins accessibles en interface qu’Avast. Les données peuvent être traitées en Europe, aux États-Unis ou dans d’autres pays conformes au RGPD via des clauses contractuelles types.
🟢 4. Comment concilier sécurité et confidentialité ?
🔹 Privilégier les antivirus avec options de contrôle de la vie privée
Avant d’adopter une solution, vérifiez que l’antivirus propose :
Un paramétrage granulaire de la télémétrie.
Des politiques claires de gestion de données.
Un mode entreprise distinct du mode grand public.
Une documentation RGPD-friendly.
Des solutions comme Avast Business permettent de choisir le niveau de partage de données, tout en maintenant un haut niveau de protection.
🔹 Bonnes pratiques internes pour les entreprises
Sensibiliser les employés à la gestion des données.
Centraliser les journaux d’activité pour audit.
Limiter les droits d’accès aux données sensibles.
Effectuer un audit RGPD régulier des outils logiciels.
Intégrer l’antivirus dans une stratégie globale de cybersécurité.
🔹 Vers une IA éthique en cybersécurité ?
Des initiatives se développent pour encadrer l’utilisation éthique de l’IA :
Labels européens de confiance (comme l’étiquette « AI Act ready »).
Audits indépendants des algorithmes.
Transparence sur l’entraînement des modèles IA.
🔴 Un compromis nécessaire entre efficacité et vie privée
L’utilisation de l’IA dans les antivirus représente une avancée majeure pour la défense contre les cybermenaces. Mais cette technologie repose sur la collecte et l’analyse de données parfois sensibles, ce qui peut inquiéter les entreprises soucieuses de leur confidentialité.
Avast et Norton, bien qu’issus du même groupe, adoptent des approches légèrement différentes en termes de transparence et de contrôle utilisateur. En tant qu’entreprise, le choix d’un éditeur de confiance, associé à une politique de gouvernance des données rigoureuse, permet de tirer parti de l’IA sans compromettre la vie privée.
Pour les prestataires IT et responsables sécurité, la vigilance doit donc être constante : choisir, paramétrer et auditer sont les clés d’une protection efficace et éthique.